Ce jardin public, discret et généreux, s’étire le long d’une lisière boisée, comme une respiration entre la ville et la nature. C’est un lieu de pause, de passage, de promenade douce, où les bancs attendent les silences, et les arbres dessinent l’avenir.
Le sentier de sable blond serpente avec naturel, bordé de bancs sobres et de jeunes arbres récemment plantés. L’ombre est encore légère, mais prometteuse, et les lignes du chemin mènent vers un horizon tranquille. C’est un espace simple, presque humble, mais chargé de calme et d’ouverture.
Un mur de pierre courbe, accueillant et ancré, vient embrasser le passage. Derrière lui, les cheminements se déploient, les plantations s’organisent, et la minéralité s’adoucit pour céder à la présence végétale. C’est un seuil — celui entre l’utile et le poétique.
Une allée centrale bordée d’arbres, comme autant de promesses enracinées, rythmée par des bancs, des candélabres et des respirations vertes. On y imagine les promeneurs du matin, les enfants à vélo, ou les marcheurs du soir.